^The Fatimid Revolution (861-973) and its aftermath in North Africa, Michael Brett, The Cambridge History of Africa, Vol. 2 ed. J. D. Fage, Roland Anthony Oliver, (Cambridge University Press, 2002), 622.
^Abulafia, David (2011). The Mediterranean in History. p. 170.
^Bacharach, Jere L. (2006). Medieval Islamic Civilization: A-K, index. p. 382.
^C.E. Bosworth, The New Islamic Dynasties, (Columbia University Press, 1996), 62.
^Max Van Berchem, MIFAO 44 - Matériaux pour un Corpus Inscriptionum Arabicarum Part 2 Syrie du Sud T.2 Jérusalem Haram (1927), p13-14 (no.146): “L’émir Muhammad mourut à Damas en 334 (946) et son corps fut transporté et inhumé à Jérusalem. L’émir Unūdjūr mourut en 349 (960) et son corps fut porté à Jérusalem et inhumé à côté de celui de son père. L’émir ‘Ali mourut en 355 (966) et son corps fut transporté à Jérusalem et inhumé à côté de ceux de son père et de son frère. Enfin l'ustādh Kāfūr mourut en 357 (968) et son corps fut transporté et inhumé à Jérusalem, sans doute auprès de ceux de ses maîtres. Ainsi les Ikhshidides avaient leur caveau funéraire à Jérusalem. Bien plus, un auteur contemporain précise que «l'émir Ali fut transporté dans un cercueil à Jérusalem et enterré, avec son frère et son père, ce tout près du Bāb al-asbāt ou porte des Tribus (1). Ce nom désignait et désigne encore la porte du Haram désigne encore la porte du Haram qui s'ouvre dans l'angle nord-est de l'esplanade (2), et précisément derrière le n° 146, à l'intérieur du mur d’enceinte.”