AMC 35 | |
![]() Automitrailleuse de Combat Renault modèle 1935 | |
Caractéristiques de service | |
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Utilisateurs | France
Belgique Allemagne |
Conflits | Seconde Guerre Mondiale |
Production | |
Concepteur | Renault |
Année de conception | 1932 |
Constructeur | Renault, AMX |
Production | 75 exemplaires |
Unités produites | 57 |
Variantes | ACG 2 |
Caractéristiques générales | |
Équipage | 3 personnes :
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Longueur | 4,572 m (caisse) |
Largeur | 2,235 m |
Hauteur | 2,336 m |
Masse au combat | 14.5 tonnes |
Armement | |
Armement principal | 1 canon de 47 mm SA35 L/32 ou FRC 47 mm |
Armement secondaire | 1 mitrailleuse de 7,5 mm Reibel ou 7,65 mm Hotchkiss |
Mobilité | |
Moteur | Renault 4 cylindres |
Puissance | 180 ch |
Réservoir | 300 ℓ |
Autonomie | 161 km |
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L'AMC 35 (de Automitrailleuse de combat Renault modèle 1935), aussi connu sous le nom de Renault ACG-1, était un char moyen français développé dans les années 1930, soit vers la fin de l'entre-deux-guerres. Il servit durant la Seconde Guerre mondiale.
Il a été produit dans l'usine Renault d'Issy-les-Moulineaux et a été développé en raison du changement des spécifications qui avaient mené à la conception de l'AMC 34, exigeant un véhicule non seulement bien armé mais également bien blindé.
Du fait de problèmes financiers et économiques, la production a été retardée et limitée. La Belgique fut la seule utilisatrice de ce char dans des unités actives avant la guerre. L'AMC 35 était l'un des seuls chars français de l'époque comportant une tourelle pour deux hommes[1], avec le char FCM 2C (qui pouvait embarquer trois hommes dans sa tourelle). Ce fut le seul en revanche à connaître une utilisation opérationnelle.