Ambassadeur de France en Finlande | |
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à partir de | |
Ambassadeur de France au Danemark | |
à partir du | |
Préfet de Seine-et-Oise | |
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Préfet de police de Paris | |
février - | |
Préfet de Seine-et-Oise | |
- | |
Préfet de l'Aisne | |
- | |
Préfet de la Haute-Vienne | |
- | |
Préfet de l'Aisne | |
- | |
Sous-préfet de Béthune | |
à partir de | |
Sous-préfet de Gray | |
à partir de | |
Secrétaire général de la préfecture de l'Aveyron (d) | |
à partir de | |
Préfet de Lot-et-Garonne | |
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Naissance | |
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Décès | |
Nationalité | |
Formation |
Université de Montpellier (d) (doctorat en droit (en)) (jusqu'en ) Lycée Henri-IV |
Activités | |
Père |
Distinctions | |
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Archives conservées par |
Archives nationales (F/1bI/728, 19800035/736/83515)[1] |
Adrien Bonnefoy-Sibour, né le à Pont-Saint-Esprit (Gard) et mort le à Sauvigney-lès-Gray (Haute-Saône), est un haut fonctionnaire français.
Après trente ans d’un parcours à la progression régulière et sans histoire, il connait subitement pour quelques semaines une fâcheuse notoriété quand des circonstances mouvementées le placent à la tête de la police parisienne lors des évènements dits du 6 février 1934. Cet épisode d'un mois et demi, émaillé de graves troubles faisant de nombreuses victimes, s'avérera pour lui une épreuve si pénible que « sur sa demande » le décret du 17 mars 1934[2] le rétablira dans ses fonctions antérieures, où il reprendra le cours tranquille de sa carrière. .