Andrew Wiles

Andrew Wiles

Biographie

Naissance	11 avril 1953 (71 ans) Cambridge
Nationalité	britannique
Domiciles	Royaume-Uni (jusqu'en 1982), États-Unis (depuis 1982), Princeton
Formation	Merton College (licence) (1971-1974) Université de Cambridge (doctorat) (jusqu'en 1980) King's College School (en) Clare College Leys School
Activités	Mathématicien, professeur d'université
Père	Maurice Wiles (en)
Mère	Paddy Mowll (d)

Autres informations

A travaillé pour	Université Harvard (1977-1980) Université de Cambridge (1975-1981) Université de Princeton Institute for Advanced Study
Chaire	Chaire royale en mathématiques
Membre de	Royal Society (1989) Académie américaine des arts et des sciences (1994) Académie américaine des sciences (1996) Société américaine de philosophie (1997) Academia Europaea (2015) Académie des sciences Société royale du Canada
Directeur de thèse	John Coates
Distinctions	Prix Abel (2016) Liste détaillée Prix Whitehead (1988) Prix Fermat (1995) Prix Schock de mathématiques (1995) Prix Ostrowski (1996) Médaille royale (1996) Prix Maryam-Mirzakhani (1996) Prix Wolf de mathématiques (1996) Prix Frank-Nelson-Cole (1997) Prix MacArthur (1997) Prix Cole de théorie des nombres (1997) King Faisal International Prize in Science (1998) Clay Research Award (1999) Chevalier commandeur de l'ordre de l'Empire britannique (1999) Prix Shaw (2005) Prix Shaw en mathématiques (2005) Prix Abel (2016) Médaille Copley (2017) Regius Professor of Mathematics (d) (2018) Médaille De Morgan (2019) Bourse Guggenheim

Œuvres principales

Modular Elliptic Curves and Fermat's Last Theorem (d)

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Andrew John Wiles (né le 11 avril 1953 à Cambridge, Angleterre) est un mathématicien britannique, professeur à l'université d'Oxford, en Angleterre. Il est célèbre pour avoir démontré le grand théorème de Fermat (1994). Il est lauréat du prix Abel 2016.

Le dernier théorème de Fermat, énoncé par Pierre de Fermat en 1637, affirme qu'il n'existe pas de solution en nombres entiers positifs à l'équation xⁿ + yⁿ = zⁿ pour tout n supérieur à 2. Ce théorème, apparemment simple, a résisté aux efforts des mathématiciens pendant plus de 350 ans avant que Wiles ne parvienne à le démontrer.