L'antimoine explosif est un allotropemétastable de l'antimoine susceptible d'exploser lorsqu'il est rayé ou chauffé brutalement. Décrit pour la première fois en 1855, cet allotrope peut être obtenu par électrolyse sous forme d'un verreamorphe[1],[2],[3],[4]. Son explosion libère de l'ordre de 24cal·g-1[5].
↑(en) C. C. Coffin et Stuart Johnston, « Studies on explosive antimony. I—The microscopy of polished surfaces », Proceedings of the Royal Society of London. Series A, Mathematical and Physical Sciences, vol. 146, no 858, , p. 564-570 (DOI10.1098/rspa.1934.0172, JSTOR2935608, Bibcode1934RSPSA.146..564C, lire en ligne)
↑(en) C. C. Coffin, « Studies on explosive antimony. II―Its structure, electrical conductivity, and rate of crystallization », Proceedings of the Royal Society of London. Series A, Mathematical and Physical Sciences, vol. 152, no 875, , p. 47-63 (DOI10.1098/rspa.1935.0178, JSTOR96581, Bibcode1935RSPSA.152...47C, lire en ligne)
↑(en) C. C. Coffin et C. E. Hubley, « Studies on Explosive Antimony: IV. The Heat of Explosion at 40 °C », Revue canadienne de recherche, vol. 28b, no 10, , p. 644-647 (DOI10.1139/cjr50b-076, lire en ligne)