| Arabelle Solutions | |
 Logo d'Arabelle Solutions depuis 2024. | |
| Création | 1903 : Société Rateau 2014 : GE Alstom Nuclear Systems |
|---|---|
| Dates clés | 2005 : partie intégrante d'Alstom Power 2015 : acquisition par GE des activités Énergie d'Alstom dont Alstom Power 2018 : vente par Alstom de ses 20 % restants à GE 2024 : acquisition par EDF de GE Alstom Nuclear Systems (GEAST), qui devient Arabelle Solutions |
| Fondateurs | Auguste Rateau |
| Forme juridique | Société par actions simplifiée |
| Siège social | 32 Avenue Pablo Picasso, Nanterre.svg){kind=small} France
|
| Direction | Bernard Fontana (PDG) |
| Actionnaires |
|
| Activité | Nucléaire |
| Produits | Turbines Arabelle |
| Société mère | EDF |
| Filiales | Arabelle Solutions France |
| Effectif | 3 300 |
| SIREN | 907 877 369 |
| Site web | https://www.arabellesolutions.com/ |
| Société précédente |  GE Steam Power
|
modifier - modifier le code - voir Wikidata  | |
Arabelle Solutions (anciennement GE Alstom Nuclear Systems[1],[2] ou GEAST) est une multinationale française chargée de la production des turbines Arabelle destinées aux réacteurs EPR (activités nucléaires portant sur l’îlot conventionnel), de l’entretien et du renouvellement des turbo-alternateurs des 56 réacteurs nucléaires français[3].
L'entreprise, dont le siège social se situe à Nanterre, est présente dans près de 16 pays dont la France, le Royaume-Uni, la Chine, la Finlande, l'Inde, ou encore la Roumanie. Elle développe dans son usine historique de Belfort la turbine Arabelle-1700, modèle le plus puissant au monde. Elle a été créée lors du rachat d'Alstom Power en tant que coentreprise entre GE et Alstom, permettant ainsi à la France de conserver un droit de veto (ou golden share).
En 2018, Alstom se désengage de GE Alstom Nuclear Systems, cédant ses 20% restants à GE et mettant fin à cette «alliance» qu'elle prônait avec GE[4],[5]. Depuis , Arabelle Solutions est une filiale détenue à 100% par EDF, issue du rachat des activités hors Amériques de GE Steam Power au groupe américain GE Vernova[6].
- ↑ (en-US) caroline, « GE to buy Alstom’s stakes in energy joint ventures », sur Nuclear Engineering International, (consulté le )
- ↑ (en) Powering the World, GE Steam Turbines, 42 p. (lire en ligne).
- ↑ Marie-Béatrice Baudet, Chloé Aeberhardt, « Lobbying, corruption, pressions américaines… Les zones d’ombre de l’affaire Alstom », sur lemonde.fr,
- ↑ Erreur de référence : Balise
<ref>incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées:1 - ↑ Erreur de référence : Balise
<ref>incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées:9 - ↑ Erreur de référence : Balise
<ref>incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nomméesLM 20240530