Il reste connu pour ses illustrations stylisées et sinueuses en noir et blanc, où l’on perçoit l’influence de l’art japonais et de l'art rococo. Son art, jugé grotesque et décadent par la bonne société de son époque, a plus tard été vu comme une critique de l'hypocrisie de la société victorienne[2],[3].
↑Giovanna Franci, « Maladie et perversion dans l’œuvre de Aubrey Beardsley », dans Littérature et pathologie, Presses universitaires de Vincennes, coll. « L’Imaginaire du texte », (ISBN978-2-84292-945-9, lire en ligne), p. 227–241