L'avortement en Argentine est légal depuis 2020[1]. Avant cette date, l'avortement était illégal sauf lorsque la vie ou la santé de la mère était en danger ou lorsque la grossesse était le résultat d'un viol[2],[3]. Jusqu'en 2007, il n'y avait pas de chiffres confirmés. Environ 30 000 patientes par an sont hospitalisées en raison de complications post-avortement et doivent faire face à une sanction juridique. Beaucoup de tentatives d'avortement échouées et de décès dus à celles-ci ne sont pas répertoriés en tant que tels ou ne sont pas notifiés aux autorités[4],[5],[6]. L'application de la législation anti-avortement est variable et complexe.
↑Ramon Bergallo, « Constitutional developments in Latin American abortion law », International Journal of Gynecology and Obstetrics, vol. 135, , p. 228–231 (lire en ligne)