La banane plantain est simplement appelée « plantain » en Afrique. Ce fruit, consommé comme un féculent, prend divers noms selon le lieu géographique : « banane cochon » dans certaines régions, « banane farine » ou « banane jaune » dans les Antilles, « banane poingo » en Nouvelle-Calédonie, ou encore « banane à cuire »[6],[7],[8],[9],[10]
La banane plantain a une saveur relativement neutre et une texture douce une fois cuite ; elle peut être consommée crue ; mais, elle est le plus souvent préparée frite, bouillie ou transformée en farine ou en pâte[2].
↑Otegbayo, Lana et Ibitoye, « Isolation and physicochemical characterization of starches isolated from plantain (Musa paradisiaca) and cooking banana (Musa sapientum) », Journal of Food Biochemistry, vol. 34, no 6, , p. 1303–1318 (DOI10.1111/j.1745-4514.2010.00354.x).
↑(en) Nicolas Roux, Franc-Christophe Baurens, Jaroslav Doležel et Eva Hřibová, « Genomics of Banana and Plantain (Musa spp.), Major Staple Crops in the Tropics », dans Genomics of Tropical Crop Plants, Springer New York, (ISBN978-0-387-71219-2, DOI10.1007/978-0-387-71219-2_4, lire en ligne), p. 83–111.
↑(en) Luis A. Bello-Perez, Edith Agama-Acevedo, Olivier Gilbert & Domonique Dufour, Tropical and Subtropical Fruits : Postharvest Physiology, Processing and Packaging, Wiley-Blackwell, , 648 p. (ISBN978-1-118-32411-0, lire en ligne), « Banana », p. 149.
↑(en) Dole Food Company, Inc., Encyclopedia of Foods : A Guide to Healthy Nutrition, Academic Press, coll. « Oxford Companions Series », , 516 p. (ISBN978-0-08-053087-1, lire en ligne), p. 158.
↑(en) Alan Davidson, The Oxford Companion to Food, Oxford University Press, coll. « Oxford Companions Series », , 3rd éd., 921 p. (ISBN978-0-19-967733-7, lire en ligne), p. 58.
↑(en) Jennifer Thomson, Handbook on Agriculture, Biotechnology and Development, Edward Elgar Publishing, , 880 p. (ISBN978-0-85793-835-0, lire en ligne), « Africa », p. 107.