Cavalerie au temps de la Rome antique

Évariste-Vital Luminais, Combat de Romains et de Gaulois, musée des Beaux-Arts de Carcassonne.

La cavalerie dans la Rome antique ne constituait pas, à l'origine, une arme indépendante au sein de l'armée romaine : chaque légion avait sa cavalerie organique (300 cavaliers, organisés en dix escadrons commandés chacun par un décurion).

À l'instar des Grecs qui développèrent leur cavalerie au contact des Perses[note 1], c'est essentiellement au contact de ses adversaires — Numides, Celtes, Germains, Parthes, Sassanides et Huns — que Rome entreprend progressivement la mise sur pied d'unités de cavalerie — souvent d'ailleurs par le biais de recrutement de mercenaires issus des peuples soumis (equites singulares) — qui ne resteront cependant que des « auxiliaires » de la légion d'infanterie, clé de voûte de la tactique militaire romaine[1].


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  1. Denis Bogros : Des hommes, des chevaux, des équitations. Petite histoire des équitations pour aider à comprendre l'Équitation, Chap. III : L'équitation des peuples sédentaires dans l'Antiquité in Bibliographie.

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