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CoRoT-2
| Ascension droite | 19h 27m 06,49448s[1] |
|---|---|
| Déclinaison | +01° 23′ 01,3576″[1] |
| Constellation | Aigle |
| Magnitude apparente |
en V : ~12,57[2] en I : 11,49 ± 0,03[2] en J : 10,783 ± 0,028[2] en H : 10,44 ± 0,04[2] en K : 10,31 ± 0,03[2] |
Localisation dans la constellation : Aigle   | |
| Type spectral | G7V[3] + K9V[2] |
|---|---|
| Variabilité | Variable pulsante[4] |
| Vitesse radiale | −7,6 km/s |
|---|---|
| Mouvement propre |
μα = −3,409 mas/a[1] μδ = −10,936 mas/a[1] |
| Parallaxe | 4,660 8 ± 0,053 6 mas[1] |
| Distance | 214,555 ± 2,467 pc (∼700 al)[1] |
| Magnitude absolue | ? |
| Masse | 0,97 ±0,06 M☉ |
|---|---|
| Rayon | 0,902 ±0,018 R☉ |
| Luminosité | 0,478 L☉[1] |
| Température | 5 625 ± 120 K |
| Métallicité | 0 ± 0,1 |
| Âge | ? a |
Désignations
CoRoT-2 est une étoile naine jaune de la séquence principale légèrement moins chaude que le Soleil. Cette étoile se situe à environ ∼ 700 a.l. (∼ 215 pc) du Soleil[1] dans la constellation de l'Aigle. La magnitude apparente de cette étoile est de 12, ce qui signifie qu'elle n'est pas visible à l'œil nu mais qu'elle peut être vue avec un télescope amateur de taille moyenne lors d'une nuit claire et sombre[2].
CoRoT-2 possède un vrai compagnon physique désigné 2MASS J19270636+0122577, déjà proposé par Alonso et al. en 2008. C'est une étoile de type spectral K9, faisant de CoRoT-2 un système binaire large possédant au moins une planète[5].
- (en) A. G. A. Brown et al. (Gaia collaboration), « Gaia Data Release 2 : Summary of the contents and survey properties », Astronomy & Astrophysics, vol. 616, , article no A1 (DOI 10.1051/0004-6361/201833051, Bibcode 2018A&A...616A...1G, arXiv 1804.09365). Notice Gaia DR2 pour cette source sur VizieR.
- (en) CoRoT-2 -- Star sur la base de données Simbad du Centre de données astronomiques de Strasbourg.
- ↑ Erreur de référence : Balise
<ref>incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nomméesalonso08 - ↑ (en) « Success of the First CoRoT Satellite Observation: First Exoplanet and First Stellar Oscillations », Centre national d'études spatiales, Centre national de la recherche scientifique, (consulté le )
- ↑ (en) S. Czesla et al., « The extended chromosphere of CoRoT-2A. Discovery and analysis of the chromospheric Rossiter-McLaughlin effect », Astronomy & Astrophysics, vol. 539, , article no A150 (DOI 10.1051/0004-6361/201118042, Bibcode 2012A&A...539A.150C)