La courbe de Stribeck est utilisée en tribologie pour expliquer l'évolution de certains phénomènes de lubrification, via les variations du coefficient de frottement, en fonction de divers paramètres pouvant caractériser, par exemple, le démarrage d'un mécanisme abondamment lubrifié. Elle est nommée en l'honneur de Richard Stribeck (en) qui l'a introduite pour la première fois en 1902[1].