Elle se manifeste par de la fièvre, un œdème et des ulcères des muqueuses génitales, des plaques d'urticaires sur le corps et une paralysie musculaire progressive[2]. Il existe uniquement des traitements symptomatiques et pas de vaccin[3].
Cheval avant et après son atteinte par la dourine (1911).
La dourine a été éradiquée en Amérique du Nord et en Europe, mais elle subsiste en Afrique, en Asie et probablement en Amérique latine[1]. En Europe, elle est depuis 1990 une maladie à déclaration obligatoire[4] et l'OIE recommande l'abattage des animaux atteints[4].
↑ a et bArchie Hunter (trad. de l'anglais), La santé animale : Principales maladies, Versailles/Wageningen (Pays-Bas)/Paris, Editions Quae, , 312 p. (ISBN978-2-7592-0005-4, lire en ligne), p. 107-108
↑Institut du cheval, Maladies des chevaux : manuel pratique, France Agricole Editions, , 279 p. (ISBN978-2-85557-010-5, lire en ligne), p. 65
↑(en) K. Gillingwater, P. Büscher et R. Brun, « Establishment of a panel of reference Trypanosoma evansi and Trypanosoma equiperdum strains for drug screening », Veterinary Parasitology, vol. 148, no 2, , p. 114–121 (PMID17624671, DOI10.1016/j.vetpar.2007.05.020)
↑ a et b(en) Codes of Practice 2017, Horserace Betting Levyboard, 59-65 p. (lire en ligne)