Parti d'argent et de sable, à la tour ouverte du champ, crénelée de quatre pièces de l'un en l'autre, chargée en cœur d'un écusson parti d’or et de gueules, à la plante d'un pied dextre humain, aussi de l'un en l'autre, la tour étant accompagnée en chef de deux étoiles à six rais, à dextre de gueules, à sénestre d'or et en pointe d'un croissant de l'un en l'autre.
↑Confusion : l'État présent de la noblesse belge, de 2005, attribue erronément à la famille du baron Émile van Dievoet la généalogie de la présente famille van Dievoet, dite Vandive à Paris, publiée dans Le Parchemin, nr. 245, septembre-octobre 1986.
↑Les admissions à la bourgeoisie mentionnent deux homonymes, l'un Gielis van Dievoet fut admis dans l'exercice 1617-1618, l'autre Gillis van Dievoot, originaire de Woluwe-Saint-Lambert, fut admis en 1653 (Jan Caluwaerts, Poorters van Brussel//Bourgeois de Bruxelles, tome II, 161-1695, Louvain, 2005, p. 89).
↑(Sweerts, Sleeus, Serhuyghs, t'Serroelofs, Coudenbergh, Roodenbeke et Steenweeghs). Du lignage Sweerts, du chef de Goossen van Cotthem, du lignage Sleeus, du chef de Jan van Buyseghem dit Buys, du lignage Serhuyghs du chef de Wouter Pipenpoy, du lignage Serhuyghs du chef de Jean Pipenpoy, du lignage Sleeus du chef de Franco uter Crommercammen, du lignage t'Serroelofs du chef de Jan Mennen, du lignage Coudenbergh du chef de Jan van den Hane dit Vilain, du lignage Roodenbeke du chef de Gielis Mennen, du lignage Roodenbeke du chef de Ghysbrecht Pipenpoy, du lignage Steenweeghs du chef de Beatrix Conincx, fille d'Arnold Conincx inscrit au lignage Steenweeghs, et épouse de Henri t'Seraerts, fille d'Arnold échevin de Bruxelles en 1323-1327 : « Filiations lignagères bruxelloises contemporaines, Bruxelles », N/A, , p. 105 (lire en ligne)
↑Date du premier mariage de Gilles Van Dievoet, reprise par Jean-François Houtart, Anciennes familles de Belgique, Bruxelles, 2008, p. 393.
↑Alfred Détrez classe cette branche parmi les grandes fortunes de Paris : Alfred Détrez, « Aristocrates et joailliers sous l'ancien régime », dans : La Revue (ancienne Revue des Revues), volume 78, Paris, 1908, p. 471 : « aux grandes fortunes des Delahoquette, des Vandive, des Granchez ».
↑François Gilles Vandive, rentier, rue des Lavandières no 82, décédera le 1er Thermidor an X (20 juillet 1802). A. N. Administration Fiscale, registre 29, 1er et 2e arrondissement. Voir aussi : Archives Nationales, notaire Claude Nicolas BALLET (étude LXV), MC/RE/LXV/10 : Inventaire après décès de François-Gilles Vandive, à la requête de Jean-François-Claude Beau, acte du 29 fructidor an X (16 septembre 1802).