Famille Van Dievoet

Famille Van Dievoet
Image illustrative de l’article Famille Van Dievoet
Armes

Blasonnement Parti d'argent et de sable, à la tour ouverte du champ, crénelée de quatre pièces de l'un en l'autre, chargée en cœur d'un écusson parti d’or et de gueules, à la plante d'un pied dextre humain, aussi de l'un en l'autre, la tour étant accompagnée en chef de deux étoiles à six rais, à dextre de gueules, à sénestre d'or et en pointe d'un croissant de l'un en l'autre.
Devise « Pes meus in directo ».
Lignées Lignages de Bruxelles
Branches Vandive (éteinte)
Période XVIIe siècle - XXIe siècle
Pays ou province d’origine Drapeau du Duché de Brabant Duché de Brabant
alt Bruxelles
Pays Pays-Bas autrichiens Pays-Bas autrichiens
alt États belgiques unis
alt Royaume de France
alt Première République
alt Premier Empire
alt Royaume uni des Pays-Bas
Royaume de Belgique
Fiefs tenus Roetaert
Demeures château du Moisnil
Charges officier de la Garde-Robe du roi, consul de Paris, conseiller de la ville de Bruxelles, greffier de l'Audience au Grand Conseil, conseiller-notaire-secrétaire du roi Maison et Couronne de France, secrétaire du Parquet de la Cour de Cassation, avocat à la Cour de Cassation de Belgique, avocat à la Cour d’Appel de Bruxelles.
Fonctions militaires major du génie, capitaine de la Résistance, chef d'État Major adjoint de la Zone III de l'Armée Secrète (Flandre).
Fonctions ecclésiastiques chanoine au chapitre Saint-Pierre d'Anderlecht, vice-pléban et secrétaire du chapitre d'Anderlecht.
Récompenses civiles

La famille Van Dievoet[1] est une famille belge inscrite aux registres de la bourgeoisie de Bruxelles dès le XVIIe siècle[2] et issue des sept Lignages de Bruxelles[3]. Sa filiation suivie est établie depuis 1650[4]. Elle forma à la fin du XVIIe siècle un rameau parisien connu sous le nom de Vandive[5], éteint en 1802[6].

  1. Confusion : l'État présent de la noblesse belge, de 2005, attribue erronément à la famille du baron Émile van Dievoet la généalogie de la présente famille van Dievoet, dite Vandive à Paris, publiée dans Le Parchemin, nr. 245, septembre-octobre 1986.
  2. Les admissions à la bourgeoisie mentionnent deux homonymes, l'un Gielis van Dievoet fut admis dans l'exercice 1617-1618, l'autre Gillis van Dievoot, originaire de Woluwe-Saint-Lambert, fut admis en 1653 (Jan Caluwaerts, Poorters van Brussel//Bourgeois de Bruxelles, tome II, 161-1695, Louvain, 2005, p. 89).
  3. (Sweerts, Sleeus, Serhuyghs, t'Serroelofs, Coudenbergh, Roodenbeke et Steenweeghs). Du lignage Sweerts, du chef de Goossen van Cotthem, du lignage Sleeus, du chef de Jan van Buyseghem dit Buys, du lignage Serhuyghs du chef de Wouter Pipenpoy, du lignage Serhuyghs du chef de Jean Pipenpoy, du lignage Sleeus du chef de Franco uter Crommercammen, du lignage t'Serroelofs du chef de Jan Mennen, du lignage Coudenbergh du chef de Jan van den Hane dit Vilain, du lignage Roodenbeke du chef de Gielis Mennen, du lignage Roodenbeke du chef de Ghysbrecht Pipenpoy, du lignage Steenweeghs du chef de Beatrix Conincx, fille d'Arnold Conincx inscrit au lignage Steenweeghs, et épouse de Henri t'Seraerts, fille d'Arnold échevin de Bruxelles en 1323-1327 : « Filiations lignagères bruxelloises contemporaines, Bruxelles », N/A,‎ , p. 105 (lire en ligne)
  4. Date du premier mariage de Gilles Van Dievoet, reprise par Jean-François Houtart, Anciennes familles de Belgique, Bruxelles, 2008, p. 393.
  5. Alfred Détrez classe cette branche parmi les grandes fortunes de Paris : Alfred Détrez, « Aristocrates et joailliers sous l'ancien régime », dans : La Revue (ancienne Revue des Revues), volume 78, Paris, 1908, p. 471 : « aux grandes fortunes des Delahoquette, des Vandive, des Granchez ».
  6. François Gilles Vandive, rentier, rue des Lavandières no 82, décédera le 1er Thermidor an X (20 juillet 1802). A. N. Administration Fiscale, registre 29, 1er et 2e arrondissement. Voir aussi : Archives Nationales, notaire Claude Nicolas BALLET (étude LXV), MC/RE/LXV/10 : Inventaire après décès de François-Gilles Vandive, à la requête de Jean-François-Claude Beau, acte du 29 fructidor an X (16 septembre 1802).

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