Les fanfares des Beaux-Arts sont nées en 1948 aux Beaux-Arts de Paris[1],[2].
Elles sont d'abord apparues dans les ateliers d'enseignement de l'Architecture de l'École, lesquels représentaient alors l'effectif étudiant le plus important. Lors de la séparation en 1968 de l'enseignement de l'Architecture et de l'École des Beaux-Arts[3], les élèves architectes ont emporté avec eux cette tradition et conservé son appellation d'origine.
Ne répondent à la qualification « fanfare des Beaux-Arts » que les fanfares formées en France au sein d'une école d'architecture ou d'une école des beaux-arts[4]. Elles sont regroupées dans l'association de la Grande Masse des Beaux-Arts.
En sortant de l'École, ces fanfares d'étudiants, si elles perdurent, continuent de porter le qualificatif « Beaux-Arts[5] » qui peut s'écrire différemment selon les traditions spécifiques de chaque atelier : Beaux-Arts, Bôzarts, Bô Zarts, Débôzarts, etc.
Les membres d'une fanfare des Beaux-Arts sont nommés fanfaristes par les pionniers du genre, ou fanfarons[6] par les plus jeunes.
<ref>
incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées :1