La fraction du pain (latin : fractio panis, « rompre le pain ») est mentionnée dans le Nouveau Testament comme un geste fondamental du mémorial de la mort de Christ en rémission des péchés. Dans ce texte, le rite de la fraction du pain, inspiré du judaïsme, est institué par Jésus-Christ lors de la Cène. Aujourd'hui, cette fraction est pratiquée, d'une façon ou d'une autre et parfois avec des interprétations différentes, dans la plupart des confessions chrétiennes[1],[2],[3],[4],[5],[6].
La fraction du pain peut désigner soit l'acte de rompre un pain dans le culte chrétien, soit, par métonymie, l'ensemble du rite relatif à la « Cène dominicale », aussi appelé « repas du Seigneur », et à la communion.
↑Jonathan Black, « The Holy of Holies: Pentecostal Spirituality and the Breaking of Bread », Journal of Spiritual Formation and Soul Care, vol. 13, no 1, , p. 62–87 (ISSN1939-7909 et 2328-1030, DOI10.1177/1939790919896336, lire en ligne, consulté le )
↑Todne Thomas Chipumuro, « Breaking Bread with the Brethren: Fraternalism and Text in a Black Atlantic Church Community », Journal of African American Studies, vol. 16, no 4, , p. 604–621 (ISSN1559-1646 et 1936-4741, DOI10.1007/s12111-010-9157-7, lire en ligne, consulté le )
↑Leslie J. Francis et Andrew Village, « This Blessed Sacrament of Unity? Holy Communion, the Pandemic, and the Church of England », Journal of Empirical Theology, vol. 34, no 1, , p. 87–101 (ISSN0922-2936 et 1570-9256, DOI10.1163/15709256-12341420, lire en ligne, consulté le )