Georges Lamia | ||
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Biographie | ||
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Nationalité | ![]() |
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Naissance | La Calle (Algérie) |
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Décès | Cagnes-sur-Mer (France) |
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Taille | 1,70 m (5′ 7″) | |
Période pro. | 1957 – 1966 | |
Poste | Gardien de but | |
Parcours amateur | ||
Années | Club | |
1956 | -![]() |
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1956-1957 | ![]() |
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Parcours senior1 | ||
Années | Club | M. (B.) |
1957-1963 | ![]() |
243 | (0)
1963-1964 | ![]() |
38 (0) |
1964-1966 | ![]() |
70 (0) |
Sélections en équipe nationale2 | ||
Années | Équipe | M. (B.) |
1959-1962 | ![]() |
7 (0) |
1 Compétitions officielles nationales et internationales senior, incluant le parcours amateur et en équipe réserve. 2 Matchs officiels. |
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Georges Lamia, né le [1] à La Calle (Algérie) et mort le à Cagnes-sur-Mer[2], est un footballeur français des années 1950 et 1960. Évoluant au poste de gardien de but, il joue successivement à l'OGC Nice, au Havre AC et au Stade rennais durant sa carrière professionnelle. Il obtient également sept sélections en équipe de France et participe à l'Euro 1960 où « les Bleus » terminèrent 4e. Dans son édition du 05/06/2021, le magazine L’Équipe revient sur la demi-finale perdue 5-4 contre l’URSS, et cite le quotidien L’Équipe paru au lendemain de la rencontre : « le commentaire de Jacques Ferran est d’une infinie cruauté après les 3 buts encaissés en trois minutes par le gardien français Georges Lamia face aux Yougoslaves : « Trois buts indignes d’un football civilisé (...) au bout desquels on trouve le malheureux Lamia, figé, ahuri, stupide, accablé... » .