Guillaume Henri Dufour | ||
Nom de naissance | Guillaume Henri Dufour[1] | |
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Naissance | Constance (Archiduché d'Autriche) |
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Décès | (à 87 ans) Les Eaux-Vives (GE) |
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Allégeance | France (1811-1817) Suisse (1817-1859) |
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Arme | Artillerie et génie militaire | |
Grade | Général | |
Années de service | 1811 – 1859 | |
Commandement | Général en chef de l’armée confédérale et de l'armée suisse Capitaine du génie dans la Grande Armée |
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Conflits | Guerre du Sonderbund Affaire de Neuchâtel Campagne des Cent-Jours Défense de la république des Sept-Îles |
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Faits d'armes | Vainqueur de la guerre du Sonderbund | |
Distinctions | Grand-croix de la Légion d'honneur Donne son nom à la Pointe Dufour (4 634 m) |
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Autres fonctions | Membre du comité fondateur de la Croix-Rouge Directeur de l'École militaire centrale fédérale de Thoune Cartographe Ingénieur |
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Guillaume Henri Dufour[a], né le à Constance (Archiduché d'Autriche) et mort le aux Eaux-Vives (GE) (Suisse)[5], est un général, ingénieur, cartographe et homme politique suisse. Il est la figure principale de la victoire sur le Sonderbund, guerre qui a joué un rôle clé dans l'émergence de la Suisse moderne.
Il est aussi l'auteur de la première carte de la Suisse à relevé topographique précis, nommée carte Dufour, le cofondateur avec Henri Dunant (Gustave Moynier, Théodore Maunoir et Louis Appia) de la Croix-Rouge internationale et l'un des directeurs de l'École militaire centrale fédérale de Thoune. Personnage majeur de l’histoire suisse, il donne notamment son nom à la pointe Dufour, le plus haut sommet de Suisse, qui culmine à une altitude de 4 634 m.
Il était aussi officier du génie dans la Grande Armée.
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