Hugues est nommé "le Brun" par Guillaume de Tyr[5],[6]. Ce surnom n'apparait pas dans les chartes, ou dans d'autres documents, laissant la place au patronyme "Lusignan".
↑Clément de Vasselot de Régné, Le "Parentat" Lusignan (Xe – XIVe siècle) : structures, parenté vécue, solidarités et pouvoir d’un lignage arborescent, vol. 4 : Annexes 7 à 10 - Bibliographie (Thèse de doctorat en histoire médiévale, sous la direction de John Tolan et de Martin Aurell), Université de Nantes, (lire en ligne [PDF]), Annexe 10 : Tableaux de filiation et schémas, chap. 43 (« L'arborescence des châteaux »), p. 202.
↑Clément de Vasselot de Régné, Le "Parentat" Lusignan (Xe – XIVe siècles) : structures, parenté vécue, solidarités et pouvoir d’un lignage arborescent, vol. 4 : Annexes 7 à 10 - Bibliographie (Thèse de doctorat en histoire médiévale, sous la direction de John Tolan et de Martin Aurell), Université de Nantes, (lire en ligne [PDF]), Annexe 10 : Tableaux de filiation et schémas, chap. 6 (« La coalition châtelaine des années 1120 »), p. 165.
↑Guillaume de Tyr (éd. Jacques-Paul Migne), « Guillelmus Tyrensis Archiepiscopus : Incipit liber nonus decimus », dans Patrologiæ cursus completus (Patrologie latine), t. CCI, Paris, (lire en ligne), Caput VIII : Noradinus circa partes Tripolitanas vincitur, et fuga vix nostrorum manus effugit, col. 755 :
« Advenerant illa tempestate quidam nobiles, de partibus Aquitanicis, Gaufridus videlicet, qui cognominatus est Martel, domini comitis Engolismensis frater, et Hugo de Liniziaco senior, qui cognominatus est Brunus, orationis gratia. »