Les In paradisum et Chorus angelorum sont une paire d'incipit faisant partie de l'absoute, épisode qui avait traditionnellement sa place à l'issue de l'office catholique des défunts[1]. Il s'agit des antiennes grégoriennes chantées à la fin de la cérémonie des funérailles, lorsque la procession se forme pour accompagner le cercueil du défunt, porté hors de l'église et vers le cimetière.
Ces textes, desquels les fonctions à l'origine n'étaient pas identiques, se diffusent plutôt par la dernière pièce du requiem (dès 1888) de Gabriel Fauré.