Publication des quatorze points du président Wilson, fixant les objectifs assignés au conflit par les États-Unis[3].
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Reprise des négociations entre les puissances centrales, d'une part, et la Russie de l'autre, en vue de la conclusion d'une paix entre le Reich et ses alliés d'une part, et la Russie de l'autre[4].
Exposition de buts de guerre allemands en Russie lors de la session de la conférence de paix entre les représentants allemands et les plénipotentiaires envoyés par le nouveau gouvernement russe[7].
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Approbation par le comité central du parti bolchevik de la ligne politique prônée par Léon Trotsky, qui consiste à se retirer du conflit sans signer d'accord avec le Reich et ses alliés[8].
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Conférence de Compiègne : les Alliés fixent leur stratégie pour la campagne de 1918 ; ils s'accordent sur la mise en œuvre d'une stricte défensive[9]
Discours d'Ottokar Czernin, ministre austro-hongrois des affaires étrangères, devant le parlement autrichien : le ministre austro-hongrois se montre favorable à l'ouverture de négociations de paix avec les Alliés sur la base des quatorze points[11].
Déclenchement d'une vague de grèves dans le Reich, destinée à imposer au gouvernement impérial l'ouverture de négociations de paix avec les Alliés[7].
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Proclamation de l'état de siège à Berlin pour tenter d'endiguer les grèves à caractère pacifiste qui se développent en Prusse[12].
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raid aérien allemand contre Paris menée par seize bombardiers allemands Gotha G ordonnés en quatre escadrilles[13].
Reprise des négociations entre les puissances centrales et la Russie[8].
Réunion du Conseil supérieur de la guerre à Versailles : les Alliés valident la mise en place d'une réserve générale, au terme de plusieurs mois de négociations[14]