Jean-Yves Le Bouillonnec | |
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Fonctions | |
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Vice-président de la Métropole du Grand Paris | |
En fonction depuis le (9 ans, 1 mois et 2 jours) |
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Élection | |
Président | Patrick Ollier |
Président du Conseil de surveillance de la Société du Grand Paris | |
– (2 ans, 8 mois et 12 jours) |
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Élection | |
Prédécesseur | André Santini |
Successeur | Patrick Braouezec |
Député français | |
– (15 ans et 1 jour) |
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Élection | 16 juin 2002 |
Réélection | 17 juin 2007 17 juin 2012 |
Circonscription | 11e du Val-de-Marne |
Législature | XIIe, XIIIe et XIVe (Cinquième République) |
Groupe politique | SOC (2002-2007) SRC (2007-2016) SRC (2016-2017) |
Prédécesseur | Claude Billard |
Successeur | Albane Gaillot |
Maire de Cachan | |
– (19 ans, 5 mois et 25 jours) |
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Élection | |
Prédécesseur | Jacques Carat |
Successeur | Hélène de Comarmond |
Conseiller général du Val-de-Marne | |
– (4 ans, 3 mois et 19 jours) |
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Circonscription | Canton de Cachan |
Prédécesseur | Patrice Hernu |
Successeur | Alain Blavat |
Biographie | |
Date de naissance | |
Lieu de naissance | Cachan (Val-de-Marne, France) |
Nationalité | Française |
Parti politique | PS |
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Maires de Cachan | |
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Jean-Yves Le Bouillonnec est un avocat et un homme politique socialiste français, né le à Cachan (Val-de-Marne).
Il est maire de Cachan de 1998 à 2018 et député de la 11e circonscription du Val-de-Marne de 2002 à 2017. De 2015 à 2018, il est président du comité de surveillance de la société du Grand Paris, qui réalise le réseau de métro automatique Grand Paris Express, poste dont il démissionne pour raisons de santé.
Il est au centre de l'attention médiatique, lors de l'affaire du relogement des squatteurs du centre régional des œuvres universitaires et scolaires (CROUS) de Cachan, à l'automne 2006. Les logements étudiants occupés illégalement ayant été évacués de force par les compagnies républicaines de sécurité (CRS), le maire loge d'urgence les squatteurs dans le gymnase de l'école Belle-image pour éviter les troubles à l'ordre public qui pourraient survenir s'ils étaient laissés à la rue. Le gymnase est occupé pendant une période bien plus longue, les étrangers en situation irrégulière en ayant fait un symbole et voulant éviter d'être séparés par la force publique[1].
En 2008, il publie un rapport, passablement critique, sur la loi Robien concernant l'immobilier[2], et en 2010, un livre Logement: le bien premier, édition Jean Jaurès Fondation[3].