Joaquim Nadal

Joaquim Nadal
Illustration.
Joaquim Nadal, en 2016.
Fonctions
Conseiller à la Recherche et à l'Enseignement supérieur de la généralité de Catalogne

(1 an, 10 mois et 1 jour)
Président Pere Aragonès
Gouvernement Aragonès
Prédécesseur Gemma Geis (ca)
Successeur Núria Montserrat Pulido (ca)
Chef de l'opposition en Catalogne

(1 an, 8 mois et 11 jours)
Président Artur Mas
Législature IXe
Groupe politique Socialiste
Prédécesseur Artur Mas
Successeur Xavier Sabaté (ca)
Conseiller à la Présidence

(6 mois et 15 jours)
Président Pasqual Maragall
Gouvernement Maragall
Prédécesseur Josep Bargalló (ca)
Successeur Joan Saura (ca)
Conseiller à la Politique territoriale et aux Travaux publics

(7 ans et 9 jours)
Président Pasqual Maragall
José Montilla
Gouvernement Maragall
Montilla
Prédécesseur Felip Puig i Godes (ca)
Successeur Lluís Recoder (ca)
Porte-parole du groupe socialiste
au Parlement de Catalogne

(4 ans et 1 mois)
Législature VIe
Groupe politique Socialiste-CpC
Prédécesseur Higini Clotas
Successeur Miquel Iceta
Député au Parlement de Catalogne

(28 ans et 7 mois)
Élection
Réélection





Législature IIe, IIIe, IVe, Ve, VIe, VIIe, VIIIe et IXe
Groupe politique Socialiste
Maire de Gérone

(22 ans, 8 mois et 14 jours)
Coalition PSC
Prédécesseur Ignasi de Ribot (ca)
Successeur Anna Pagans (ca)
Biographie
Nom de naissance Joaquim Nadal i Farreras
Date de naissance (77 ans)
Lieu de naissance Gérone (Espagne)
Nationalité Espagnole
Parti politique PSC (1981-2015)

Joaquim Nadal Joaquim Nadal
Maires de Gérone
Conseillers au Territoire de la Catalogne

Joaquim Nadal i Farreras, né le à Gérone, est un homme politique espagnol ayant appartenu au Parti des socialistes de Catalogne (PSC).

Il est maire de Gérone entre et , et entre en au Parlement de Catalogne, où il siège pendant près de trois décennies. Membre du Parti socialiste, il en est le candidat malheureux à la présidence de la Généralité aux élections de 1995. Après leur arrivée au pouvoir en , il est nommé conseiller à la Politique territoriale, poste qu'il occupe jusqu'à leur renvoi dans l'opposition, en . Il devient cette année-là président du groupe parlementaire, donc chef de l'opposition.

Il renonce à se représenter aux élections de 2012, quelques semaines après avoir été relevé de la présidence du groupe socialiste. Il s'éloigne alors de son parti : il renonce à ses responsabilités internes, dans la province de Gérone, en , puis quitte le PSC en , sur fond de désaccord concernant la tenue d'un référendum d'autodétermination. Il revient en politique en , comme conseiller à la Recherche dans le gouvernement minoritaire de l'indépendantiste de gauche Pere Aragonès.


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