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Son mandat comme premier ministre d'Afrique du Sud est marqué par ses réformes intérieures concernant l'apartheid, avec une modification de la politique sportive du gouvernement sud-africain, Sous le mandat de John Vorster, un certain nombre de restaurants et d'hôtels de première classe sont ouverts aux Noirs, tout comme un certain nombre de bibliothèques, de théâtres et de musées. Les Noirs et les Blancs sont autorisés à s'affronter ou à jouer dans des équipes mixtes, pour la plupart au niveau national[1]. Ces ouvertures furent néanmoins limitées et occultées par les émeutes de Soweto de 1976.
En politique étrangère, il mène une politique de détente auprès de plusieurs chefs d'État africains et une médiation dans le conflit en Rhodésie. Au Sud-Ouest africain (future Namibie), il infléchit la politique sud-africaine d'apartheid, et percevant les divisions au sein même des mouvements d'opposition, s'engage dans la voie de l'autodétermination du territoire (Conférence de la Turnhalle), pour notamment contrer la SWAPO, désignée le , par l'Assemblée générale des Nations unies, comme représentant unique et authentique du peuple namibien. Néanmoins, cette politique d'ouverture intensive et pragmatique est aussi occultée par l'intervention militaire sud-africaine en Angola à partir de la fin de l'année 1975.
À l'apogée de sa carrière politique, John Vorster est l'homme politique le plus puissant que l'Afrique du Sud ait jamais connu de toute son histoire et le plus populaire des Afrikaners au sein de la communauté blanche[2]. À la fin de son mandat, John Vorster laisse toutefois son pays singulièrement isolé sur la scène internationale et les Afrikaners en proie à une plus grande inquiétude existentielle[2].
↑Premier Under Siege, article du New-York Times du 4 septembre 1976
↑ a et bErreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées politicsweb 102024