Naissance | |
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Sépulture |
Hampton Memorial Gardens (d) |
Nom de naissance |
Creola Katherine Coleman |
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Activités |
Informaticienne, mathématicienne, ingénieur aéronautique, physicienne, enseignante |
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Distinctions | Liste détaillée Médaille présidentielle de la Liberté () NCWIT Pioneer in Tech Award (d) () Arthur B.C. Walker II Award () Virginia Women in History (en) () 100 Women () Docteur honoris causa du Spelman College (d) () Médaille d'or du Congrès () Médaille Hubbard () National Women's Hall of Fame () |
Katherine Johnson, née Creola Katherine Coleman le à White Sulphur Springs (Virginie-Occidentale) et morte le à Newport News (Virginie), est une mathématicienne et ingénieure spatiale américaine.
Elle contribue aux programmes aéronautiques et spatiaux du National Advisory Committee for Aeronautics (NACA) puis de la National Aeronautics and Space Administration (NASA).
Réputée pour la fiabilité de ses calculs en navigation astronomique, elle conduit des travaux techniques à la NASA qui s'étalent sur des décennies. Durant cette période, elle calcule et vérifie les trajectoires, les fenêtres de lancement et les plans d'urgence de nombreux vols du programme Mercury, dont les premières missions de John Glenn et Alan Shepard, et des procédures de rendez-vous spatial pour Apollo 11 en 1969[1] jusqu'au programme de la navette spatiale américaine[2],[3],[4]. Ses calculs furent essentiels à la conduite effective de ces missions[2]. Elle travaille enfin sur une mission pour Mars.
En 2015, elle reçoit la médaille présidentielle de la Liberté et, en 2019, le Congrès des États-Unis lui décerne la médaille d'or du Congrès[5].
When asked to name her greatest contribution to space exploration, Katherine Johnson talks about the calculations that helped synch Project Apollo’s Lunar Lander with the moon-orbiting Command and Service Module.