Ligne nouvelle Bordeaux – Toulouse | ||
Ligne de Villenave-d'Ornon (Bordeaux) à Saint-Jory (Toulouse) via Agen et Montauban |
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Pays | France | |
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Villes desservies | Bordeaux, Agen, Montauban, Toulouse | |
Caractéristiques techniques | ||
Longueur | 222 km | |
Vitesse maximale commerciale |
220 ou 320 km/h | |
Vitesse maximale de conception |
350 km/h | |
Écartement | standard (1,435 m) | |
Électrification | 25 kV – 50 Hz | |
Nombre de voies | Double voie |
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Signalisation | ERTMS niveau 2, KVB | |
Trafic | ||
Propriétaire | SNCF Réseau | |
Exploitant(s) | SNCF Voyageurs | |
Trafic | TGV inOui, Ouigo fret |
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La LGV Bordeaux - Toulouse (parfois appelée ligne nouvelle du Sud-Ouest[1]) est une future ligne à grande vitesse, d'une longueur d'environ 200 km, affectée au trafic des voyageurs entre Bordeaux et Toulouse. À vocation radiale (desserte de la quatrième aire urbaine de France) et transversale (liaison entre les façades Atlantique et Méditerranéenne), cette ligne prolongerait la LGV Sud Europe Atlantique (Tours-Bordeaux), dans le cadre du grand projet ferroviaire du Sud-Ouest. Envisagé depuis les années 1980 puis successivement reporté, ce projet dont le coût s'élève à plusieurs milliards d'euros[2] reçoit sa déclaration d’utilité publique en 2016, définitivement confirmée en 2021. À l’instar des autres grands projets nationaux (LGV, autoroutes, ports, etc.), celui-ci fait l’objet de contestations d’ordre politique, économique et environnemental.