Cet imprimeur est mort le et à cette date, il semble que c'est son fils qui avait repris l'affaire et la publication. L'inspirateur politique de ce journal était un avocat parisien, Xavier de Borssat, qui était aussi membre de l'Amicale des haut-marnais de Paris[3], qui signait parfois un article en une du journal et faisait paraître, par ailleurs, un autre journal, à Langres[4].
↑Bi-hebdomadaire, en 1896-1899, il paraissait le jeudi et le dimanche. Par contre, en 1909-12, il ne paraissait plus que le dimanche.
↑Toutes les informations apportées par le créateur de l'article proviennent de la lecture du Journal de Bourbonne dont une collection (évidemment incomplète) se trouve aux Archives départementales de la Haute-Marne et d'un article publié par Les Cahiers Haut-Marnais, en 1959 (n° 58-59), sous la plume d'Odile Colin, intitulé : "Les journaux politiques publiés dans le département de la Haute-Marne, de 1871 à 1914." On trouve d'autre part des notices des parlementaires mentionnés sur les dictionnaires fournis par les sites de l'Assemblée Nationale et du Sénat, les journaux parisiens sont consultables sur le site de la Bibliothèque Nationale : Gallica.
↑le Journal de Bourbonne rend compte des réunions de cette société de secours mutuel fondée par plusieurs centaines de hauts-marnais de Paris, à la fin du XIXe siècle.
↑Toujours en avant (1899) devenu En avant en 1900 et qui fusionna avec l'Impartial, en 1901.Mais cet hebdomadaire était très différent du Journal de Bourbonne. Il était intégralement politique, ardemment nationaliste, ouvertement antisémite. Ce journal rappelle beaucoup le journal L'Action française faisait une propagande active pour la création d'un parti agrarien, le PAN. On trouve une collection de ce journal à la médiathèque de Langres.