Magdalena Valerio | |
Magdalena Valerio en 2019. | |
Fonctions | |
---|---|
Présidente du Conseil d'État espagnol | |
– (1 an, 3 mois et 13 jours) |
|
Monarque | Felipe VI |
Président du gouvernement | Pedro Sánchez |
Prédécesseur | Miguel Herrero (intérim) María Teresa Fernández de la Vega |
Successeur | Miguel Herrero (intérim) Carmen Calvo |
Députée aux Cortes Generales | |
– (3 ans, 4 mois et 27 jours) |
|
Élection | |
Réélection | |
Circonscription | Guadalajara |
Législature | XIIIe et XIVe |
Groupe politique | Socialiste |
Successeur | Aurelio Zapata |
– (4 ans et 1 mois) |
|
Élection | |
Circonscription | Guadalajara |
Législature | Xe |
Groupe politique | Socialiste |
Ministre espagnole du Travail, des Migrations et de la Sécurité sociale | |
– (1 an, 7 mois et 7 jours) |
|
Président du gouvernement | Pedro Sánchez |
Gouvernement | Sánchez I |
Prédécesseur | Fátima Báñez |
Successeur | Yolanda Díaz (Travail) José Luis Escrivá (Sécurité sociale et Migrations) |
Conseillère aux Administrations publiques et à la Justice de la Junte des communautés de Castille-La Manche | |
– (1 an, 8 mois et 23 jours) |
|
Président | José María Barreda |
Gouvernement | Barreda II |
Prédécesseur | Sonia Lozano (Administration publique) Angelina Martínez Martínez (Justice) |
Successeur | Santiago Moreno |
Conseillère au Tourisme et à l'Artisanat de Castille-La Manche | |
– (1 an et 2 mois) |
|
Président | José María Barreda |
Gouvernement | Barreda II |
Prédécesseur | Fernando Lamata (intérim) María Luisa Araújo |
Successeur | Soledad Herrero |
Députée aux Cortes de Castille-La Manche | |
– (2 ans, 11 mois et 9 jours) |
|
Élection | 27 mai 2007 |
Circonscription | Guadalajara |
Législature | VIIe |
Groupe politique | Socialiste |
Successeur | José María Calvo Caballero |
Conseillère au Travail et à l'Emploi de Castille-La Manche | |
– (1 an, 9 mois et 11 jours) |
|
Président | José María Barreda |
Gouvernement | Barreda I |
Prédécesseur | María José López Ortega |
Successeur | María Luz Rodríguez Fernández |
Biographie | |
Nom de naissance | Magdalena Valerio Cordero |
Date de naissance | |
Lieu de naissance | Torremocha (Espagne) |
Nationalité | Espagnole |
Parti politique | PSOE |
Diplômée de | Université complutense de Madrid |
Profession | Haute fonctionnaire |
|
|
Ministres du Travail d'Espagne Présidents du Conseil d'État |
|
modifier |
Magdalena Valerio Cordero (/maɣðaˈlena βaˈlɛɾjo koɾˈðɛɾo/[a]), née le à Torremocha (province de Cáceres), est une femme politique espagnole membre du Parti socialiste ouvrier espagnol (PSOE).
Née en Estrémadure et formée en droit à l'université complutense de Madrid, elle s'installe en à Guadalajara et devient gestionnaire de la Sécurité sociale.
Elle obtient son premier mandat électoral en , comme conseillère municipale de Guadalajara. Après les élections de , elle est nommée adjointe au maire. Elle entre en au gouvernement de Castille-La Manche en tant que conseillère au Travail. Élue aux Cortes en , elle est désignée conseillère au Tourisme, puis conseillère à la Justice en .
Elle quitte l'exécutif en pour prendre le poste de déléguée dans la province de Guadalajara. Elle postule en tête de liste aux élections municipales de à Guadalajara et subit un échec cuisant avec deux fois moins d'élus que le maire sortant, facilement reconduit.
À la suite des élections législatives de , elle est élue au Congrès des députés, où elle se spécialise dans le système des retraites. Proche de Pedro Sánchez, elle devient porte-parole adjointe du groupe socialiste en , puis secrétaire exécutive à la Sécurité sociale du PSOE trois ans plus tard. En , elle est exclue de la liste des candidats aux élections générales, une décision confirmée en .
En , Sánchez la choisit comme ministre du Travail, des Migrations et de la Sécurité sociale. Elle ne parvient pas à mener la réforme de la primauté des conventions collectives avant la fin de son mandat en , lorsque son ministère est scindé en deux dans le cadre de la formation d'un gouvernement de coalition dont elle ne fait pas partie. Réélue députée de Guadalajara en , elle prend la présidence de la commission chargée du système de retraite au Congrès. Elle devient, trois ans plus tard, présidente du Conseil d'État, fonction dont elle est relevée au bout de 15 mois après l'annulation de sa nomination par la justice.
Erreur de référence : Des balises <ref>
existent pour un groupe nommé « alpha », mais aucune balise <references group="alpha"/>
correspondante n’a été trouvée