Date |
- (2 ans et 24 jours) |
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Localisation | Chili |
Organisateurs | Aucun (mouvement sans structuration hiérarchique) |
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Revendications | Tarif des transports en commun à Santiago puis accès à la santé et à l'éducation, lutte contre les inégalités sociales. |
Types de manifestations | Manifestation, émeute, grève, incendie volontaire, cyberactivisme, pillage, barricade |
Morts | >30 (au 4 février 2020)[2] |
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Blessés | 12 000 [3] |
Arrestations | >25 000 (au 27 janvier 2020)[1] |
Des manifestations chiliennes en 2019 ont lieu du à en réaction à des mesures d’augmentation des prix de services publics. Bien que relativement faibles, ces augmentations déclenchent l'expression d'un profond ressentiment de la population étant données les importantes inégalités sociales que connaît le pays. Au printemps 2020, la pandémie de Covid-19 met en pause les manifestations[4].
Les manifestations conduisent la classe politique chilienne à s'accorder sur l'organisation le 25 octobre 2020 d'un référendum sur un changement de constitution ainsi que sur la convocation d'une assemblée constituante chargée de sa rédaction.