Le texte ne doit pas être écrit en capitales (les noms de famille non plus), ni en gras, ni en italique, ni en « petit »…
Le gras n'est utilisé que pour surligner le titre de l'article dans l'introduction, une seule fois.
L'italique est rarement utilisé : mots en langue étrangère, titres d'œuvres, noms de bateaux, etc.
Les citations ne sont pas en italique mais en corps de texte normal. Elles sont entourées par des guillemets français : « et ».
Les listes à puces sont à éviter, des paragraphes rédigés étant largement préférés. Les tableaux sont à réserver à la présentation de données structurées (résultats, etc.).
Les appels de note de bas de page (petits chiffres en exposant, introduits par l'outil « Source ») sont à placer entre la fin de phrase et le point final[comme ça].
Les liens internes (vers d'autres articles de Wikipédia) sont à choisir avec parcimonie. Créez des liens vers des articles approfondissant le sujet. Les termes génériques sans rapport avec le sujet sont à éviter, ainsi que les répétitions de liens vers un même terme.
Les liens externes sont à placer uniquement dans une section « Liens externes », à la fin de l'article. Ces liens sont à choisir avec parcimonie suivant les règles définies. Si un lien sert de source à l'article, son insertion dans le texte est à faire par les notes de bas de page.
Le Mansabdar (hindi : मनसबदार, bengali : মনসবদার) était une unité militaire au sein du système administratif de l'Empire moghol introduit par Akbar. Le mot mansab est d'origine arabe signifiant rang ou position. Le système sert à déterminer le rang et le statut d'un fonctionnaire du gouvernement et des généraux militaires. Chaque officier civil et militaire a reçu un Mansab, qui a déterminé leurs salaires et indemnités. Le terme manasabadar signifie une personne ayant un Mansab.
Dans le système mansabdari fondé par Akbar, les mansabdars étaient des commandants militaires, de hauts officiers civils et militaires et des gouverneurs de province. Ces mansabdars dont le rang était de mille ou moins étaient appelés Amir, tandis que ceux de plus de 1 000 s'appelaient Amir-al Kabir (Grand Amir). De grands émirs dont les rangs étaient supérieurs à 5 000 ont également reçu le titre d’Amir-al Umara (émir des émirs).
C'était un système par lequel les nobles se voyaient octroyer le droit de détenir un jagir, ou une cession de revenus (pas la terre elle-même), pour les services rendus par eux, avec le contrôle direct de ces nobles entre les mains du roi. Abu'l Faz'l a mentionné 66 grades de mansabdars, mais dans la pratique, il n'y avait pas plus de 33 mansabdars. Au début du règne d'Akbar, la note la plus basse était de dix et la plus élevée de 5 000 (plus tard portée à 7 000). Des Mansabs supérieurs ont été donnés aux princes et aux dirigeants Rajput qui ont accepté la suzeraineté de l'empereur.