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« Grand maître du documentaire » selon l'historien Jean Tulard[2], Marcel Ichac est en particulier considéré comme « le plus grand cinéaste spécialiste de films de montagne en France et sans doute dans le monde » de sa génération par Georges Sadoul[3],[4]. D'abord skieur et alpiniste, grand témoin de l'alpinisme français, Marcel Ichac est ensuite devenu, par la diversité des espaces explorés, le cinéaste de l'exploration française des années 1930-1950 (les deux premières expéditions françaises en Himalaya en 1936 et 1950, la plongée sous-marine avec Jacques-Yves Cousteau, le Groenland avec Paul-Émile Victor, les tout premiers documentaires de spéléologie au monde avec notamment Norbert Casteret, etc.).
Marcel Ichac a révolutionné le cinéma documentaire par sa volonté d'insérer le spectateur au sein de l'action avec une obsession de l'authenticité. Ce qui a exigé, au-delà de l'accompagnement du sportif dans son effort, des innovations techniques (l'utilisation généralisée des caméras légères alors que les caméras de l'époque étaient généralement lourdes et fixes), artistiques (la caméra subjective, montée sur des skis, portée à l'épaule, etc., la prise de vue avec le regard de l'alpiniste) et narratives. Marcel Ichac est considéré comme un précurseur du « cinéma vérité » et du docu-fiction (lire plus bas).
Au-delà, Marcel Ichac a joué un rôle pionnier, tant dans le domaine technique (avec notamment la réalisation du premier film français en cinémascope, etc.), des institutions (fondation du Groupe des trente pour défendre le court-métrage), que des hommes (lancement de Jacques Ertaud, Jean-Jacques Languepin, Gérard Oury, Jean-Louis Trintignant, Robert Enrico dans le cinéma). Marcel Ichac a reçu les plus hautes récompenses du cinéma mondial (Oscar à Hollywood, primé au Festival de Cannes et à la Mostra de Venise, sans compter les festivals spécialisés dans le cinéma de montagne et d'exploration).