H330, H360D, H372, H410, P201, P273, P304+P340 et P308+P310
H330 : Mortel par inhalation H360D : Peut nuire au fœtus. H372 : Risque avéré d'effets graves pour les organes (indiquer tous les organes affectés, s'ils sont connus) à la suite d'expositions répétées ou d'une exposition prolongée (indiquer la voie d'exposition s'il est formellement prouvé qu'aucune autre voie d'exposition ne conduit au même danger) H410 : Très toxique pour les organismes aquatiques, entraîne des effets à long terme P201 : Se procurer les instructions avant utilisation. P273 : Éviter le rejet dans l’environnement. P304+P340 : En cas d'inhalation : transporter la victime à l’extérieur et la maintenir au repos dans une position où elle peut confortablement respirer. P308+P310 : En cas d’exposition prouvée ou suspectée : appeler un CENTRE ANTIPOISON ou un médecin.
D1A : Matière très toxique ayant des effets immédiats graves létalité aiguë:CL50 inhalation/4 heures (rat) < 19mg·m-3 D2A : Matière très toxique ayant d'autres effets toxiques toxicité chronique chez l'humain : hydrargyrisme; atteinte du développement post-natal chez l'animal E : Matière corrosive Transport des marchandises dangereuses: classe 8
Divulgation à 0,1% selon la liste de divulgation des ingrédients
Le mercure (métallique) a longtemps été utilisé dans divers médicaments, dans les thermomètres et les batteries, avant d'être interdit (en France en 1999) car trop toxique. En 2021, il serait encore dans le monde la cause de 250 000 cas de déficience intellectuelle par an[8], principalement par ingestion de produits de la mer[8]. Le mercure est hautement toxique pour le système nerveux, immunitaire, les reins et d'autres organes, causant une intoxication dite « hydrargisme » [9],[10],[11],[12].
↑ abcd et e(en) David R. Lide, CRC Handbook of Chemistry and Physics, CRC Press Inc, , 90e éd., 2804 p., Relié (ISBN978-1-420-09084-0)
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↑Farhana Zahir, Shamim J. Rizwi, Soghra K. Haq et Rizwan H. Khan, « Low dose mercury toxicity and human health », Environmental Toxicology and Pharmacology, vol. 20, no 2, , p. 351–360 (ISSN1382-6689, DOI10.1016/j.etap.2005.03.007, lire en ligne, consulté le ).