Le texte ne doit pas être écrit en capitales (les noms de famille non plus), ni en gras, ni en italique, ni en « petit »…
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L'italique est rarement utilisé : mots en langue étrangère, titres d'œuvres, noms de bateaux, etc.
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Les listes à puces sont à éviter, des paragraphes rédigés étant largement préférés. Les tableaux sont à réserver à la présentation de données structurées (résultats, etc.).
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Miriam Miranda est une activiste hondurienne, défenseure des droits humains et environnementaux des Garífunas. En tant que cheffe de l'Organisation Fraternelle Noire du Honduras (OFRANEH), elle a coordonné des efforts pour contrer le vol de terres par les grandes entreprises touristiques, récupérer les territoires ancestraux appartenant aux communautés garífunas, lutter contre les narcotrafiquants, promouvoir des pratiques environnementales durables et soutenir le développement du leadership communautaire pour les jeunes et les femmes locales. Elle a été arrêtée et torturée illégalement par les autorités locales, et enlevée par des narcotrafiquants.
Miriam Miranda a reçu plusieurs distinctions prestigieuses : le Prix des Droits Humains Óscar Romero, le Prix de la Souveraineté Alimentaire Internationale décerné par l'Alliance pour la Souveraineté Alimentaire des États-Unis, ainsi que le prix environnemental Carlos Escaleras en 2016 pour ses 30 années d'activisme. En 2019, elle a été récompensée par le Prix des Droits Humains de la Fondation Friedrich Ebert à Berlin, en Allemagne[1].
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