↑Traian Sandu, Histoire de la Roumanie, Perrin 2008, (ISBN9782262024321).
↑Vintilă Mihăilescu, « Nationalité et nationalisme en Roumanie » in : Terrain : anthropologie et sciences humaines n° 17 « En Europe, les nations » année 1991, pp. 79-90,
[1], [2].
↑(en) Irina Livezeanu, Cultural Politics in Greater Romania: Regionalism, Nation Building & Ethnic Struggle, 1918-1930, Cornell University Press, , 340 p. (ISBN0801486882, lire en ligne)
↑John Lampe, Mark Mazower, (en) Ideologies and National Identities: The Case of Twentieth-Century Southeastern Europe, Central European University Press 2004.
↑(en) Aristotle Kallis, Genocide and Fascism: The Eliminationist Drive in Fascist Europe, Routledge, , 426 p. (ISBN1134300344, lire en ligne).
↑(en) Lavinia Stan et Lucian Turcescu, Religion and Politics in Post-Communist Romania, Oxford, Oxford University Press, , 288 p. (ISBN0198042175, lire en ligne)
↑Julien Danero Iglesias, « Nationalisme et pouvoir en République de Moldavie » in : Le Monde diplomatique d'avril 2015, éditions de l’Université de Bruxelles 2014, 240 pages, [4].
↑Laurent Lagneau, « Guerre en Ukraine : La Russie accentue sa pression sur la Moldavie », dans Zone militaire du 23 février 2023 - [5].
↑Marc Semo, compte-rendu « L’horreur est roumaine » du livre de Matatias CarpCartea neagră, le livre noir de la destruction des Juifs de Roumanie, 1940-1944, Denoël 2009 commenté par Alexandra Laignel-Lavastine. Dans une optique roumanophobe, les deux exégètes français critiquent Matatias Carp pour ne pas avoir écrit que le nationalisme roumain serait intrinsèquement antisémite et s'efforcent de démontrer que la quasi-totalité des Roumains aurait adhéré aux thèses de la Garde de Fer et applaudi l'extermination des Juifs de Roumanie[7]