Nellie Yu Roung Ling

Nellie Yu Roung Ling
Nellie Yu à Paris, 1900.
Titre de noblesse
Princess of commandery (d)
Biographie
Naissance
Décès
Nom dans la langue maternelle
裕容齡Voir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
Activité
Père
Mère
Louisa Pierson (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Fratrie
John Yu Shuinling (en)
Charles Yu Hsingling (en)
Lizzie Yu Der LingVoir et modifier les données sur Wikidata
Conjoint
Dan Pao Tchao (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Parentèle
Lydia na Ranong (d) (fille adoptive)Voir et modifier les données sur Wikidata
Autres informations
Bannière
Han blanche (d)1Voir et modifier les données sur Wikidata
Maîtres
Personnes liées
Archives conservées par
Musée national d'art asiatique (en) (FSA.A.13)Voir et modifier les données sur Wikidata
Œuvres principales
Hsiang Fei : A Love Story of the Emperor Ch’ien Lung (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
signature de Nellie Yu Roung Ling
Signature

Nellie Yu Roung Ling, également orthographié Nelly[1], née en 1889 à Tientsin et morte le à Pékin, est une danseuse considérée comme « la première danseuse moderne de Chine »[2]. Bien qu'elle ne soit pas membre de la famille impériale mandchoue, Roung Ling a reçu le titre de princesse de la commanderie (vi) alors qu'elle était dame de compagnie de l'impératrice douairière Cixi[3]:268
.

Elle est également connue sous le nom de Yu Roon(g) Ling, notamment dans les œuvres de sa sœur Lizzie Yu Der Ling[3]:267
. Elle est appelée Madame Dan Pao Tchao (ou la Générale Dan Pao Tchao) après son mariage avec le général Dan Pao Tchao ; et Princesse Shou Shan, un titre est apparu sur la couverture de sa novella historique de 1934 sur la concubine parfumée (en) (Hsiang Fei), que Sir Reginald Johnston a affirmé qu'elle n'avait jamais utilisé[4]:xii
.

  1. « Charles HSING-LING », sur cdn.drouot.com, (consulté le ) : « On a joué la comédie ; une pièce anglaise en trois actes a été même supérieurement interprétée par les filles de l'ambassadeur, Mlles Lizzie et Nelly Yu, et leurs frères, MM. John Shung-Ling et Charles Hsing-ling. », p. 83.
  2. (en) Anne Witchard, « Dancing Modern China », Modernism/modernity, vol. 4, no 3,‎ (ISSN 1071-6068, e-ISSN 1080-6601, lire en ligne, consulté le ).
  3. a et b (en) Lily Xiao Hong Lee, Clara Lau et A. D. Stefanowska, Biographical Dictionary of Chinese Women, Volume 1 : The Qing Period, 1644–1911, Milton Park, Routledge, , 600 p. (ISBN 9781317475880, lire en ligne).
  4. (en) Grant Hayter-Menzies, Imperial Masquerade : The Legend of Princess Der Ling, Hong Kong, Hong Kong University Press, , 444 p. (ISBN 9789622098817, lire en ligne).

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