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Le palindrome (adjectif et substantif masculin), du grecπάλιν / pálin (« en arrière ») et δρόμος / drómos (« chemin, voie »), aussi appelé palindrome de lettres, est une figure de style désignant un mot ou une phrase dont l'ordre des lettres reste le même qu'on les lise de gauche à droite ou de droite à gauche[1], comme dans la phrase « Ésope reste ici et se repose » ou encore « La mariée ira mal » à un accent près.
Le palindrome est un cas particulier d'anacyclique (lequel est lui-même un cas particulier d'anagramme) comme « suce|écus », pour lequel la signification est la même dans les deux sens de lecture.
Il est communément admis que l'on ne tient pas compte des signes diacritiques (accents, trémas, cédilles) ni des espaces. Cependant, rien n'interdit de choisir des règles plus strictes.
On peut distinguer les palindromes possédant un nombre pair de lettres, dans lesquels l'axe de symétrie passe entre deux exemplaires de la même lettre (« élu par cet|te crapule »), des palindromes à nombre impair de lettres, dont une « lettre-pivot » occupe le centre (« Ésope reste ici et se repose »)[2].
Par extension, il existe des palindromes musicaux où les notes de musique de la phrase musicale peuvent se lire indifféremment dans les deux directions, des palindromes mathématiques où les chiffres et symboles mathématiques se lisent dans les deux sens, des dates palindromes, des heures palindromes, etc.
↑Alain Rey (sous la direction de),, Le Grand Robert de la Langue française, Le Robert, (ISBN2850366730), article palindrome.