Bien que le terme de rapace continue à être utilisé par les ornithologues et les profanes, sa pertinence scientifique est remise en cause dans la mesure où il ne correspond pas à un taxon précis dans la systématique actuelle et que des analyses génomiques[5] en 2008 bouleversent l'arbre phylogénétique de ces oiseaux[6].
↑Cette perception auditive en relief permet aux rapaces nocturnes de pouvoir continuer à chasser les yeux bandés. Cf Pierre Darmangeat, Rapaces de France, Artemis, , p. 14.
↑Chazel Luc, Chazel Muriel, Les oiseaux ont-ils du flair ?, Quæ, , p. 94.
↑(en) Fabian de Kok-Mercado, Michael Habib, Tim Phelps, Lydia Gregg, « Adaptations of the Owl's Cervical & Cephalic Arteries in Relation to Extreme Neck Rotation », Science, vol. 339, no 6119, , p. 514 (DOI10.1126/science.339.6119.514)
↑(en) Markus Krings, John A. Nyakatura, Mark L. L. M. Boumans, Martin S. Fischer, Hermann Wagner, « Barn owls maximize head rotations by a combination of yawing and rolling in functionally diverse regions of the neck », J Anat., vol. 231, no 1, , p. 12–22 (DOI10.1111/joa.12616)
↑(en) Shannon J. Hackett et al., « A Phylogenomic Study of Birds Reveals Their Evolutionary History », Science, vol. 320, no 5884, , p. 1763-1768 (DOI10.1126/science.1157704).