Robert Courrier
« Le Professeur R. Courrier », Paris médical : la semaine du clinicien, 1942, n° 124.
| Naissance |
Saxon-Sion |
|---|---|
| Décès |
Paris |
| Nationalité | Française |
| Formation | Université d'Alger, université de Strasbourg et université de Strasbourg (d) |
|---|---|
| Profession | Médecin, professeur et chercheur |
| Employeur | Collège de France et université d'Alger |
| Distinctions | Croix de guerre 1914-1918, médaille d'or du CNRS, membre étranger de la Royal Society (d) et docteur honoris causa de l'Université Laval (d) |
| Membre de | Royal Society, Académie des sciences, Académie royale des sciences, des lettres et des beaux-arts de Belgique, Académie américaine des arts et des sciences, Académie nationale de pharmacie, Académie nationale de médecine et Académie royale de médecine de Belgique |
Robert Courrier, né le à Saxon-Sion (Meurthe-et-Moselle) et mort le à Paris[1], est un biologiste français et secrétaire perpétuel de l'Académie des sciences pendant près de quarante ans (de 1948 à 1986). Il obtient la médaille d'or du CNRS en 1963[2]. Il soutient les expérimentations entreprises sur les appareils d'Antoine Priore, présumés capables de traiter le cancer, et s'oppose sur ce sujet aux professeurs de Broglie et Lacassagne.
Il est fellow de la Royal Society[3].
- ↑ Archives de Paris 6e, acte de décès no 70, année 1986 (page 10/31)
- ↑ CNRS, « Liste des médaillés d'or du CNRS »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur cnrs.fr (consulté le ).
- ↑ DOI 10.1098/rsbm.1990.0026