En logique classique, un syllogisme disjonctif[1],[2] (ou plus anciennement ponens modus tollendo) est une forme d'argument valide, qui prend la forme d'un syllogisme ayant une déclaration disjonctive dans l'une de ses prémisses[3],[4].
En logique propositionnelle, une syllogisme disjonctif (aussi connu sous le nom de l'argument de kneecapper, élimination ou, ou abrégé vE)[3],[4],[5],[6], est une règle d'inférence valide. Si on nous dit qu'au moins l'un des deux états est vrai; et dit aussi que ce n'est pas le premier qui est vrai; nous pouvons en déduire que ce sera le dernier qui sera vrai. Si P ou Q est vrai et P est faux, alors Q est vrai. La raison pour laquelle on l'appelle «syllogisme disjonctif» est qu'il est un syllogisme, un argument en trois étapes, et, parce qu'il contient une disjonction logique. «Soit P ou Q» est une disjonction; P et Q sont appelés les disjoints de la déclaration. La règle permet d'éliminer une disjonction d'une preuve logique. Il est la règle selon laquelle:
où la règle est que chaque fois que les instances de «», et «» apparaissent, la conclusion «» peut être placé sur une ligne subséquente.
Le syllogisme disjonctif est étroitement lié au syllogisme hypothétique, car celui-ci est également type de syllogisme, et aussi le nom d'une règle d'inférence. Il est également liée à la loi de non-contradiction et la loi du tiers exclu, deux des trois lois traditionnelles de la pensée.