Origines stylistiques | Techno[1], acid house, new beat[2], EBM, musique industrielle |
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Origines culturelles | Fin des années 1980, début des années 1990[3] ; Belgique, Pays-Bas (Rotterdam), Allemagne (Francfort) |
Instruments typiques | Boîte à rythmes, clavier, échantillonneur, séquenceur, synthétiseur, ordinateur |
Popularité | Faible à élevée |
Scènes régionales | Europe, Amérique du Nord, Amérique du Sud, Asie de l'Est, Russie, Australie |
Voir aussi | Free party, rave party, teknival, hardtechno |
Sous-genres
Artcore, breakcore, darkcore, digital hardcore, early hardcore, freeform hardcore, frenchcore, gabber, gabberpop, happy hardcore, hardcore breaks, industrial hardcore, J-core, mainstream hardcore, speedcore, terrorcore, UK hardcore, uptempo
La techno hardcore, ou simplement et historiquement hardcore, désigne une variante de genres musicaux connexes, originellement issus des raves européennes, ayant émergé durant les années 1990. Ces genres musicaux se démarquent généralement des autres courants de musiques électroniques par une plus grande rapidité (160 à 200 BPM ou plus[4]), l'intensité des kicks et des basses (dans certaines musiques dérivées)[5], du rythme et de l'atmosphère, de leurs thèmes (parfois violents)[6], de l'usage de la distorsion ainsi que des expérimentations proches de celles conçues par le courant de la musique industrielle.
De la techno hardcore en découlent un nombre importants de festivals, en particulier sur le continent européen. Peuvent notamment être cités Thunderdome, Dominator, Masters of Hardcore et Resonate, du côté gabber néerlandais. Le côté espagnol recense notamment Xque, Pont Aeri, et Chasis. Aux États-Unis, c'est l'Electric Daisy Carnival qui organise des événements EDM et techno hardcore depuis 1997.
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