Tunnel de base du Mont d'Ambin | |||||
Type | ferroviaire | ||||
---|---|---|---|---|---|
Géographie | |||||
Pays | ![]() ![]() |
||||
Traversée | Alpes | ||||
Altitude | 580 m | ||||
Coordonnées | 45° 11′ 27″ nord, 6° 46′ 53″ est | ||||
Exploitation | |||||
Trafic | TGV, Fret | ||||
Caractéristiques techniques | |||||
Diamètre | 8,4 m | ||||
Écartement | standard | ||||
Longueur du tunnel | 57,5 km[notes 1],[1] | ||||
Nombre de tubes | 2 | ||||
Nombre de voies par tube | 1 | ||||
Construction | |||||
Début des travaux | 2016 | ||||
Ouverture à la circulation | 2032 | ||||
Géolocalisation sur la carte : Savoie (département)
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Piémont
Géolocalisation sur la carte : Italie
| |||||
modifier ![]() |
Le tunnel de base du Mont d'Ambin (dit aussi du mont Cenis) est l'ouvrage majeur du projet de ligne ferroviaire transalpine entre Lyon en France et Turin en Italie. Il doit son nom au mont Cenis, premier passage ouvert entre la France et l'Italie, ainsi qu'au nom du tunnel historique. À l'origine, il était appelé "Tunnel mont d'Ambin", près duquel sont effectués les premiers forages dans la vallée d'Étache, sur la commune de Bramans à la frontière franco-italienne.
Par décret en Conseil d'État du [2], la partie française de la section transfrontalière est déclarée d'utilité publique.
Les travaux de reconnaissance ont démarré côté français en 2002 avec l'excavation de la descenderie de Villarodin-Bourget/Modane, puis de celles de Saint-Martin-de-la-Porte en 2003 et de La Praz en 2005, ainsi que côté italien avec la descenderie et galerie de reconnaissance de La Maddalena (ou Chiomonte) en 2011[3], et doivent s'achever en 2032.
Erreur de référence : Des balises <ref>
existent pour un groupe nommé « notes », mais aucune balise <references group="notes"/>
correspondante n’a été trouvée