De nombreuses variantes sont apparues dès la fin du XVIIIe siècle, telle le boston, qui consistait à introduire un système de contrat à enchères pour qu'un — voire deux en association — joueur s'engage à gagner un coup en ayant la possibilité — ou non selon la variante — de choisir la couleur d'atout. Ces variantes, modifiant souvent de manière importante le jeu du whist, ont porté des noms différents comme le boston ou le maryland. Le boston a pour sa part connu ses propres variantes.
Mais les variantes les plus importantes sont : le whist cayenne, très populaire dans les pays de langue allemande au XIXe siècle, le « mort », whist à trois (avec un mort, comme au bridge), très aimé des joueurs français, et le whist-préférence (ou yeralash), qui se répand en Russie à partir des années 1840. C’est de la combinaison de ces trois variantes, et surtout du whist-préférence russe, qu’est né le bridge à la fin du XIXe siècle.
Au XVIIIe siècle, on écrit indifféremment « wisk », « whisck », « wist » ou « whist », cf les Liaisons dangereuses de Laclos, voire « wisth » ou « wisch » !