Plusieurs auteurs soulignent l'importance, nationale et internationale du mouvement[2]. « Des penseurs comme Noam Chomsky, Immanuel Wallerstein ou Pablo Gonzalez Casanova(es) continuent de soutenir que le zapatisme est l'initiative politique la plus radicale du monde, et probablement la plus importante. Des millions de personnes trouvent auprès des zapatistes inspiration et espérance au milieu d'une crise profonde[3]. »
↑« Le zapatisme n'est pas une nouvelle idéologie politique, ni un réchauffé de vieilles idéologies... le zapatisme n'appartient à personne, et pour cela, il est à tout le monde », Sous-commandant Marcos, Invitation à la Rencontre intercontinentale pour l'humanité et contre le néolibéralisme, mai 1996 (version espagnole EZLN. Documentos y comunicados, México, Era, vol. 3, p. 258).
↑(es) Gustavo Esteva, « 20 años después. El alzamiento zapatista », Proceso, no 43, , p. 38. On trouve dans ce numéro de nombreuses analyses, notamment de chercheurs spécialistes du Chiapas et de l'Amérique latine, comme Yvon Le Bot ou Neil Harvey.
(es) Pablo Gonzalez Casanova, « González Casanova: las comunidades originarias están redefiniendo el mundo », La Jornada, (lire en ligne).
(es) Raúl Zibechi, « El Ya Basta! en América latina », La Jornada, (lire en ligne).